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Malgré une aversion croissante au risque, l’or a glissé sous la barre des 1 900 dollars

L’augmentation des nouvelles infections au coronavirus et les mesures de confinement associées n’ont pas récemment déclenché une chute de l’or malgré la crise. Même les tensions croissantes entre la Chine et les États-Unis suite aux accusations du président américain Donald Trump lors du débat général de l’ONU n’ont jusqu’à présent eu aucun effet. Au cours de la journée, les acteurs du marché de l’or devraient s’intéresser de près aux prochains indices des directeurs d’achat d’Europe et des États-Unis, qui font office d’indicateurs économiques avancés. Au petit matin, l’indice des directeurs d’achat de la « Jibun Bank » (Japon) s’est révélé pire que prévu.

Mercredi matin, le prix de l’or a été plus faible que prévu. Vers 7h30 du matin (CEST), le contrat à terme le plus activement négocié pour l’or (décembre) a chuté de 15,60 $ pour atteindre 1 892,00 $ l’once troy.

Pétrole brut : rapport hebdomadaire décevant
Après la fermeture de la bourse américaine, l’American Petroleum Institute a fait état d’une augmentation de 690 000 barils des réserves de pétrole stockées, provoquant ainsi une déception sur les marchés pétroliers. Les analystes avaient prévu une baisse de plus de deux millions. Le combustible fossile pourrait recevoir de nouvelles impulsions dans l’après-midi, lorsque l’administration américaine de l’information sur l’énergie (16h30) publiera son rapport hebdomadaire sur l’évolution des réserves et les chiffres de production. Dans l’ensemble, la situation des combustibles fossiles peut être qualifiée de relativement instable.

Mercredi matin, le prix du pétrole s’est présenté avec des cotations incohérentes. Vers 7h30 (CEST), le lendemain, le baril avait augmenté de 0,24 à 39,55 dollars, alors que son homologue sur le Brent n’avait baissé que de 0,30 à 41,42 dollars.

 

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